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Poesie.fr
Scribe accroupi
Scribe, n'écris pas
ce qu'on te dicte, mais ce que tes yeux
voient grand ouverts, le mot
premier et nécessaire
qui brûlera l'oubli,
coupe le fil de l'histoire qui te raconte,
lève ta voix inouïe.
Solitude
La solitude
partagée
n'existe plus
Salut
Les ténèbres
Saluent
Le Paradis.
Feuille morte
N'écoute pas la pluie de ton poème,
Ne laisse pas la brume t'oublier,
Suit ton chemin, regarde la rivière,
La feuille morte s'incorpore au vent.
Vagues
Laisse la mer te tourner comme une page,
L'étendard blanc des vagues étendues,
Le mouvement qui seul se reconnaît,
Nuages au dessus, plage d'étoiles,
Le pays que la mort allume encore
Je p rononce ton nom et la lumière
Le coeur salé
T'es belle comme le soleil qui brûle encore
Le coeur salé de vagues imprévues
Le printemps de la mort plus éclairée
La sombre solitude de l'oiseau
Et mon âme est une verte verité
http://www.espacefrancais.com/ecriture/index.php?news=154
http://roomserviceeurope.blogs.com/roomservice_europe/2006/03/une_nation_de_n.html
Il n'y a rien que le soleil sur terre,
chaque feuille est une vague de lumière,
laisse ton coeur aller vers la rivière,
il n'y a rien que verité dans l'air.
The dull flame of desire breathing like the sweet air,
your hands lowering clouds in the sunny december,
the echoes of the river for ever in your hands,
like the lips of your birthbay coming in front of me.
In every stone a river goes away
But suddenly the sun doesn't believe
and everywhere the sun loses its light
and there's nothing but darkness in my hands.
Don't go away, my luv, my solitude!
Nothing has seen you since the light has gone,
dance in the forest till the autumn leaves,
changing the seasons in your foolish heart,
watching the growing, tiny growing leaves.
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